En 2016, Bastien Lattanzio a découvert l’île de Pantelleria, grain de terre volcanique perdu à équidistance de la Sicile et des côtes tunisiennes, lui est alors apparue comme une géniale oasis.
Pour ces Dammusi aux toits blancs évidemment, où les inspirations arabes se mêlent au bouillon de la culture Italienne.
Et pour cette route à flanc de falaise par laquelle on fait le tour de le l’île comme on tourne autour de Jupiter avec ces roches noires plongeant dans l’infini de la mer.
Très vite, Bastien Lattanzio y est allé. Et puis il y est revenu aussi. Tous les étés depuis plusieurs années.
« En découvrant Pantelleria, j’ai eu l’impression d’avoir trouvé ce que j’avais cherché toute ma vie.
Il y a là-bas une forme d’homogénéité esthétique parfaite qui me touche. Aucune Publicité ni Panneau ne gâche la vue.
La construction des Dammusi, répond à des règles architecturales particulières avec leurs murs en pierre de lave.
Quand je suis sur l’île, je vis une extase permanente”
La géographie de l’île et la contrainte d’espace permettent de réduire le champ des possibles et de se satisfaire de l’essentiel.
De capter et documenter ce qui est à portée de main sans se perdre à aller trop loin.
On y conduit des vieilles Fiat500 ou 4x4 anglais vintage que l’on ne ferment même pas quand on va faire ses courses.
La dizaine de restaurant sur l’ile limite les décisions et le Kaya Kaya, le bar du port est parfait pour un Negroni après une sortie en Bateau.
L’idée d’en faire un livre s’est alors imposée comme une évidence.C’était une envie spontanée, pour documenter la beauté de l’endroit, la figer quelque part pour s’en souvenir quand elle nous manque.
Une comptemplation les pieds dans l’eau ou au volant d’un vieux Defender.
Prises à l’argentique, ce sont des photos de couleurs et de nature.
144 pages - 23 cm x 30 cm - 400 exemplaires
In 2016, Bastien Lattanzio discovered the island of Pantelleria and the island, a volcanic grain of land lost equidistant from Sicily and the Tunisian coasts, appeared to him as a brilliant oasis.
For these Dammusi with white roofs of course, where Arabic inspirations mingle with the broth of Italian culture, and for this cliff-side road by which we go around the island as we would go around Jupiter, with its black rocks plunging into the infinity of the sea.
Very quickly, Bastien Lattanzio went there. And then he came back again. Every summer for several years.
“When I discovered Pantelleria, I felt like I had found what I had been looking for all my life. There is a form of perfect aesthetic homogeneity there that touches me. No publicity signs to spoil the view.
The construction of the Dammusi, abides by particular architectural rules with their lava stone walls. When I am on the island, I experience permanent ecstasy, ”explains Bastien Lattanzio.
The geography of the island and the space constraint make it possible to reduce the range of possibilities and to be satisfied with the essentials. To capture and document what is near you, without getting lost by going too far.
There, you drive an old Fiat 500 or a vintage English 4x4s, that you don't even lock up when you go shopping. The ten restaurants on the island limit decision making and the Kaya Kaya, the bar on the port is perfect for a Negroni after a boat trip.
The idea of making a book out of it then became obvious. It was a spontaneous desire, to document the beauty of the place, to freeze it somewhere, to remember it when we miss it.
Contemplating with your feet in the water or driving an old Defender, taken on film, these are photos of color and nature.
On the cover of this 144-page book, we discover the orange of the bushes burnt by the summer sun, the green of the caper trees that grow like a devil on the island and then the intense blue of the sea, which is always near.
The title painted on the cover is by Nicoletta who produces natural wine on the island, Tanca Nica, she uses this calligraphy which she hand paints on the bottles under the shade of her pergola in the vineyards.
144 pages - 23cm x 30cm - 400 copy